Les sorties de vos ado ( horaires, conditions, etc )

Brunehaut a écrit:

Merci les filles. Mine de rien, ça fait du bien d'en parler ici au moment où ça se passe, j'ai moins tendance à ventouser au plafond...

Et tu sais, Françoise, tout le monde n'est heureusement pas logé à la même enseigne . Je connais des parents d'ados qui n'ont pas eu le moindre souci (et aussi d'autres qui ont été obligés d'aller chercher leur fille à Katmandou, deux fois en deux ans, après une fugue, drogue et séropositivité en prime ).

Donc, je me dis qu'elle doit être dans une douce moyenne...

Et dire qu'il en reste trois derrière

Courage Brune, cela ne doipas être facile à gérer ...
Bizzz et
Danielle

Et en même temps, Brune, il faut bien que jeunesse se passe. A notre détriment, évidemment (et que cela ne t'empêche pas de lui passer une bonne soufflante demain )



Pour en revenir au sujet initial, je n'ai pas d'ado, mais je décommande personnellement formellement d'interdire à ses ados de sortir et les infantilisant : c'est catastrophique à l'âge adulte

Graziella a écrit:

Brunehaut a écrit:

boulettes pour chat selonla dénomination maison.

Georges avait expliqué à cette pauvre Gudule qui avait dégobillé (avec mes excuses pour l'image) ses croquettes, que si elle mâchait, elle digèrerait. Que si ça devait se gober, ça s'appelerait des gobettes, pas des boulettes. C'est resté...

Lorène a écrit:

Biennnnnnnnnnng, bonne idée.

Dors sur ta colère, la vengeance est un plat qui se mange froid

tout pareil

Brunehaut a écrit:

j'ai moins tendance à ventouser au plafond...

Et juste Corine, tu vas gérer comment ?

Comme je suis hyper optimiste, j'espère avoir des ados dans le même genre que moi et pouvoir faire comme mes parents, les laisser aller à leur guise à condition de savoir toujours où ils sont et à quelle heure ils rentrent, d'être prévenue en cas de retard par rapport à ce qui était prévu.

J'ai pu faire ça bien plus tôt que mes copines et avec le recul je crois que je ne me suis jamais mise en danger (enfin une fois je suis passée à une heure indue dans un coin glauque, mais pas toute seule).

Bon, et je n'allais pas en boite, je n'aimais pas ça.

J'espère que j'y arriverai (je ne me sens pas encore sereine par rapport à l'idée que Nils marche dans la rue sans me donner la main un jour) et que j'arriverai aussi à repérer si ce n'est pas une bonne idée (parce que mes parents avec mes frères, au secours !!! je n'oublierai jamais les avoir cherché à deux heures du matin parmi les débris de verre et les épaves alcoolisées, la fête de la ville finie, parce que ma mère leur avait demandé de rentrer après le feu d'artifice... qui avait été reporté au lendemain. Ils avaient huit et dix ans. Le plus jeune avait passé sa soirée à servir des bières à "la guitoune à teuteu" )

Brune !

Brune

j'espere que ca va!

Mes parents étaient hyperstricts, c'était tout un cinéma pour pouvoir sortir. Je serai donc bien plus cool avec Juliette.
Je préfère ça à ce que j'ai fait, à savoir devoir mentir (et être à des endroits sans que mes parents le sachent).

Mais je ne manquerai pas de lui rappeler qu'elle n'est sortie que 4 longs jours après la DPA. On la fera donc attendre pour pouvoir sortir auss!

Abi a écrit:

Comme je suis hyper optimiste, j'espère avoir des ados dans le même genre que moi et pouvoir faire comme mes parents, les laisser aller à leur guise à condition de savoir toujours où ils sont et à quelle heure ils rentrent, d'être prévenue en cas de retard par rapport à ce qui était prévu. Brune !

c'est comme ça que j'ai été élevée aussi, et c'est ce que je lui demande.

Ben non, elle n'imprime pas...

Sarah, comment je vais gérer son retard et son silence ?

comme d'hab, en lui rappelant qu'elle a le droit de ne rentrer qu'à 20 heures quand elle bosse le lendemain, mais en me prévenant et en appelant si souci, à n'importe quel moment. Et le WE, sorties libres, en me prévenant et en appelant à n'importe quelle heure si retard ou nuit chez une copine (ou un copain).

Puis en poussant une bonne soufflante pour lui demander si elle trouve normal de se compter ici comme si elle vivait à l'hôtel et si ça ne lui pose pas de problème de se comporter comme une gamine de 12 ans incapable de prendre ses responsabilités ou d'accepter les contraintes, en coupant le téléphone pour ne pas avoir à me répondre. Puis je parlerai maturité, respect des autres, accord donné en début d'année sur ses engagements dans la vie familiale, etc, etc, etc...

Sans aucun retour, silence radio et regard absent en face. Quand j'aurai fini, elle partira dans sa chambre et nous échangerons le minimum syndical pendant quelques jours. Puis la vie "normale" reprendra le dessus, elle se tiendra à carreaux, pour un temps. Puis au moment où je commencerai à croire que cette fois elle a compris, elle remettra ça...

Rien n'a de prise sur elle, je me casse régulièrement les dents