Le choix de l'école : Publique ou Privée et pourquoi ?

Pour la scolarité de vos enfants, vous avez opter pour quel école : L'école publique ou une école privée ? Pourquoi ce choix ?

Une partie de mon choix a été motivée par le bac à sable (voir topic) du moins pour ce qui a été de les mettre dans le privé des la maternelle.
Une partie de mes motivations :
- Petites classes (mon fils qui est en CE1 est dans une classe de 12 enfants quoi, c'est pas négligeable)
- Je pense qu'ils sont plus suivis, plus d'attention, plus de relation entre parents et enseignants, ce qui est plus facile au vu du petit nombre d'élèves faut pas se mentir
- Pas besoin de les mettre au caté, l'école s'en occupe, gain de temps donc le mercredi, ca évite de courir entre les activités, le foot et tout le tremblement du mercredi
- Le projet d'enseignement me plait beaucoup
Mais il y a des inconvénients aussi et pas négligeable non plus, peu de moyen pour remettre les locaux en super état parce qu'ils en ont bien besoin
Les voyages scolaires sont à des prix exhorbitants (un exemple Hugo doit partir en mai pour une classe ciné-photo deux nuits et trois jours à 30 kms de la maison pour 195 euros ca fait cher hein).
On est tres souvent sollicités pour aider manuellement ou financierement (vente de patisseries, vente de tombola, coup de main pour la réfection des locaux durant les vacances scolaires et cie)

bon ça fait trois fois que j'écris un blabla et que j'efface, on va revenir plus tard, ça veut pas

luna a écrit:

bon ça fait trois fois que j'écris un blabla et que j'efface, on va revenir plus tard, ça veut pas

hé hé hé! j'ai hate!

Alors moi, stoufassil : POUr MOI, mes convictions, y'a qu'uen école, celle de la république!

Donc c'est public, laïque, quoi qu'il arrive!


Bon, après, MrLG il a été dans des écoles privées (mais la Bretagne, c'est un peu particulier, avec ça...) et sur le principe, il dit que si jamais y'avait de vrais soucis identifiés dans une école publique où nous devrins inscrire nos enfants, il s'adresserait au privé! (Mais là, je le laisse dire... inutile de provoquer des conflits tant que le cas ne se présnete pas! )

Et c'est pa sseulement une conviction politique. Quand Misskazu, tu parles qu'ils sont mieux suivis, mieux encadrés... etc... moi, personnellement, je sens que rien ne vaut la formation des Ecoles normales, la surveillance des inspections et de l'Education Nationale pour garantir la qualité du travail dans une école! Après, des instit' nazes, vu que ma mère et beaucoup de monde autour de moi en sont, j'en ai connu, parmi les amis de mes parents, etc.. je nie pas le truc. Mais c'ets le système en lequel j'ai foi!



Et en même temps, je sais que c'est facile : on vit pour l'instant dans une ville qui met de gros moyens dans les infrastructures pour les jeunes, l'école dont dépend la maison ets chouette... Bref, pas de soucis, c'ets vrai.

En tout cas, pour plaisanter avec MissKazu, jamais, jamais de chez jamais je choisirais le privé pour des raisons de tas de sable, moi! Quant à dire "au moins, j'ai pas à m'occuper du caté, l'école le fait" pareil... rha la la, Misskazu, c'est marrant, de mon point de vue c'ets hallucinant! mais en vrai, excuse-moi, hein, je te juge pas, je sais que tu as raison pour ta famille : parce que c'ets la tienne, pas de soucis! J'espère que tu comprends!

Alors l'Homme aurait pu taper le message d'Anne.

Moi je suis plus comme MrLG : si on identifie un prb ds l'établissement public du coin, mes enfants n'iront pas. Soit on gruge pour les faire admettre ds une autre école publique, soit en privé, j'ai pas de prb.

En l'espèce, on a changé de secteur pour les écoles avec le déménagement et j'avoue que ça m'arrange bien, ça évite de devoir se poser des questions qui fâchent

Ceci dit, pour le collège, et sauf changement radical d'ici-là, faudra trouver une solution.

Oué, moi je peux l'entendre que l'éducation religieuse entre en ligne de compte pour la choix de l'école.
Maintenant, je suis d'accord avec Anne sur le fait que L'Ecole Publique est régie par un ministère sérieux, avec des inspections, un programme défini...
Je comprends aussi MissKazu quand elle parle du confort pour apprendre et être encadrés d'enfants qui sont peu nombreux par classe (personnellement, avant d'être mise en école semi privée par mon papa, il m'est arrivé de me retrouvée "perdue" parmis 35 élèves, mieux vaut ne pas se retrouver en difficulté scolaire dans ce cas là...)
Normalement, si tout va bien, quand Nicolas entrera à l'école, nous auront migrer vers des terres moins peuplées que notre "proche banlieue parisienne" actuelle donc Nicolas devrait aller à l'école dans le public, certes, mais le public de village (ou petite ville). J'éspère que ce sera un bon compromis entre le sérieux de l'école publique (en terme d'inspections régulières, de programme d'apprentissage...) et le côté "intimiste" des écoles privées...
Maintenant, si nous ne pouvons pas accéder à ce projet avant plus longtemps que prévu et que Nicolas se retrouve en difficulté à l'école (difficulté en terme d'apprentissage, d'arriver à suivre...) parce qu'il ne sera pas assez encadré et aidé pour cause d'impossibilité matérielle, je me tournerai vers le privé sans hésiter. C'est le bon déroulement de la scolarité de mon fils qui prime sur toutes mes convictions.

AnneLG a écrit:

luna a écrit:

bon ça fait trois fois que j'écris un blabla et que j'efface, on va revenir plus tard, ça veut pas

hé hé hé! j'ai hate!

Alors moi, stoufassil : POUr MOI, mes convictions, y'a qu'uen école, celle de la république!

Donc c'est public, laïque, quoi qu'il arrive!

Pareil.

Si un jour il y avait de gros gros problèmes, je reconsidérerais peut-être mes positions pour une pédagogie alternative, parce que la façon d'enseigner ne coïncide pas bien avec mes propres convictions (professionnelles) (et il faudrait peut-être de loooongues discussions avec le papa de Nils qui est allé dans des écoles privées catholiques à partir du collège, mais vu le souvenir qu'il en a, je crois que ça irait...), mais l'idée de la même école pour tous, ça me plait bien. (Et oui, les classes de 30, c'est beaucoup trop, mais je préférerais me battre pour que ça change plutôt que de m'en prémunir individuellement).

Bon, pour être tout à fait honnête, ce qui m'aide bien à tenir cette position est la confiance que j'ai en mes propres capacités à accompagner la scolarité de mes enfants. Je suis presque sûre que Nils ne fait qu'une part assez minime de ses acquisitions à l'école, finalement, et du coup, même si je la trouvais nulle (ce qui n'est pas le cas), ça ne m'affolerait pas, je pense.

Et puis les brillants parcours scolaires entièrement dans le public, j'en ai plusieurs exemples sous les yeux (des ratages parfaits en privé aussi), alors bon... on ne me fera jamais entendre que c'est mieux dans le privé.

(Juste une nuance: souvent, les gens dont les enfants sont en difficultés me demandent mon opinion sur un établissement privé du coin, elle est favorable parce que de ce que j'en ai vu, l'équipe enseignante s'adapte bien aux élèves en difficultés, je le leur dis, tout de même. Souvent, leur décision est déjà prise et je sais que les enfants qui ont ce profil, bosseurs mais qui peinent y sont bien accompagnés et bénéficient du plus petit effectif.)

(Et autre précision, si pour une raison x ou y, un de mes enfants devait aller dans le privé, le caté, pour moi, y'a pas moyen !)

ben tout comme Anne!
je suis hyper ecole publique quoi

j'ai fait le debut de la sixieme ds le prive(ds un couvent, enseignement fait par des cures et bonnes soeurs, costumes tout ca)
et j'ai reussi à me faire virer du prive c'est fou non?
alors qu'en publique c'etait 3 jours max
(si ma mere m'a fout ds le prive pendant meme pas un mois c'etait à cause d'une histoire de derogation )

bref chez moi on est tres tres publique jcrois que ma mere etait contente que je me fasse virer meme...
et je ne crois absolument pas que ds le privé= parcours exemplaire...mes quelques cousins qui y sont allés(dans le prive) c'etait franchement pas folichon...

donc ca sra publique!

En ce qui me concerne, enseignement public, par conviction.
Et si problème il devait y avoir concernant la scolarité d'Emma, cela me poserait un problème (mais surmontable) de la mettre dans le privé mais quasi insurmontable ;-))) de la mettre dans l'enseignement libre (catho).

Evidemment, c'est facile à dire, quand il est possible de mettre ses enfants dans un enseignement public de qualité, je reverrais peut-être mon jugement si ce n'était pas le cas (sauf pour le libre, là j'aurais vraiment du mal).

Bizzz
Danielle

Edit pour préciser que libre = catho (je ne suis pas certaine que cela soit la même appellation en France)

Tout pareil qu'Abi-chouchou!

On a halluciné, parce qu'ici, dans notre petit village de 1200 âmes, il y a une école publique et... une école privée. Alors qu'on est à à peine 5 km de Rennes, c'est très bizarre (mais c'est la Bretagne)

Juste pour dire que les petits effectifs ne sont pas systématiques ds le privé : par chez moi il y a un gros groupe scolaire privé, et en mater, les gamins était une trentaine...

Et pour rebondir sur ce que dit Abi, le fils de ma meilleure amie qui s'est trouvé en grande difficulté en CP ds la primaire publique tout ce qu'il y a de bien de chez elle, vient d'être changé pour le privé, parce qu'effectivement, il semblerait qu'il soit un peu différent (précocité ?), et que cette école privée d'adapte aux enfants.

Dc je me demande si parfois, le moule de l'EN n'est pas trop rigide pour ceux qui ne sont pas ds la norme (bon, en même temps je pars d'un cas particulier pour en faire une généralité, c'est pas terrible, je sais )

Edith ajoute aussi que le privé c'est qu'en cas de grosses difficultés de l'enfant ou de l'établissement, et en aucun cas pour faire de la reproduction sociale. Edith travaille ds un des quartiers les plus chers de tout Paris, et il y a une OGEC (=enseignement religieux) de folie... ça Edith ne comprend pas !

pour moi, ce fut toujours du public.
Ma mère est un peu un hussard noir de la république... Instit, elle défend le public corps et âme et les valeurs de ce qu'elle considère être l'école de Jules Ferry.
Du coup, ma sœur et moi sommes toujours allées dans le public. Même quand on s'est retrouvé en ZEP, ce fut le public. ET ça s'est toujours bien passé... bon enseignement, bonne ambiance...

Mais rétrospectivement, en tant qu'enfant, j'ai eu l'impression que ses convictions passaient parfois un peu avant mon propre épanouissement. Par exemple, là où habitent mes parents, y'a une école privée de folie, avec un excellent niveau. Alors évidemment je m'en suis bien tirée dans mon lycée (qui était un peu le lycée poubelle) mais j'aurais pu faire bien plus dans l'autre...
En même temps, c'est facile d'avoir un avis a posteriori...

C'est (dans certains cas) le problème de savoir s'il faut défendre une idée ou une action individuelle...

Après, pour mes propres enfants, je ne sais pas trop.
En tout cas, je ne serai absolument pas réticente au privé... même au privé libre.
Tout dépend ce qui sera proposé en terme d'enseignement (et que, pour le moment, je n'estime pas des masses celui du public).... mes besoins en enseignement religieux à ce moment là...

Quant à Amourdoux, ayant fréquenté des internats très très privés (mais non religieux, vive l'URSS), ça ne lui pose aucun problème

ce qui me titille, moi, ce sont les raisons données pour choisir telle ou telle option. je ne parle pas de vous, mais de ce que j'ai entendu, les parents , à la sortie des écoles, dans la vraie vie.

mes enfants sont allés dans le public, je n'ai jamais eu de souci avec ces établissements, bonnes équipes pédagogiques, activités proposées variées, et l'école pour tous, je veux dire, quand y'avait des sorties, il fallait donner max un euro, et parfois rien, pour que tous les petits aient droit aux jolies balades.

ici, par chez moi, y'a une distinction "étrange" entre public et privé. en gros, et résumé d'une façon très rapide, si tu inscris ton enfant dans le privé, c'est parce que le public n'a pas réussi à le "mater". oui, oui, le mater.... alors on se retrouve avec des établissements privés dans les classes desquels tu as pour vingt enfants cinq enfants de notables de la ville, et quinze en échec scolaire dans le public... ça fausse toutes les données, je trouve.

ce que je n'aime pas non plus, ce sont ces parents qui mettent leurs enfants dans le privé car ils ne savent plus comment faire, et qui "crachent" sur l'établissement "mon fils est chez les cathos, mais pas question qu'ils lui mettent leurs idées dans la tête....", heu, il faut savoir ce que l'on veut....

notre fils ainé est en bts en privé à angers. à la catho d'angers. il a choisi cet établissement car il souhaitait vivement aller à angers, faire "métiers de l'eau", et nous en avons discuté longuement. nous pouvions payer les frais d'inscription, alors pas de souci. aujourdh'ui, on ne regrette pas du tout, l'enseignement est bon, l'équipe pédagogique disponible et sympathique. il aurait surement trouvé aussi bien dans une autre ville, un autre établissement, mais pas forcément privé. là c'est le choix du bts et de la ville qui nous a décidé.

enfin, j'ai été jusqu'en CM2 dans une minuscule école privée de mon village, où nous étions trois par section, le truc quasi familial, un enseignement très individualisé, etc, la prière en entrant le matin, les fêtes de l'école toutes sur le thème des histoires de la bible, moi j'étais déguisée en Marie à chaque fois, car j'étais la plus grande , bref... j'en garde un souvenir mitigé... car nous étions trop surprotégés. et lorsque je me suis retrouvée au collège, public, j'ai eu un choc. là il fallait faire avec les classes chargées, les enfants de tous horizons, les profs pas dispos, etc.... mais c'est un cas particulier, hein, je n'en fais pas du tout une généralité.

finalement, ce que je pense c'est qu'il faut faire avec ses convictions. si on choisit le privé, c'est en connaissance de cause, et pas pour de mauvaises raisons. je suis persuadée que les deux enseignements se valent, après, ça dépend tellement des régions, des quartiers, etc... mettre ses enfants dans le privé pour les "remettre dans le droit chemin", je trouve que ça fait un peu année cinquante, ça met une dimension sur le privé qui est faussée à mon sens.

chais pas si je suis claire, en fait. on n'a pas choisi le privé mais on n'est pas contre, mais il faut que ce soit pour de bonnes raisons, et on assume après.

J'aurais pu écrire le message de Anne LG, même pour ce qui est de mon breton de mari...
Pour moi y a qu'une école possible c 'est celle de la république.
BOn le problème c'est qu'aujourd'hui au sein de cette école de moins en moins d'enseignants ont une idée de ce qu'est la république...
( ça fait partie de mes grandes déceptions pendant mon court passage à l'Education Nationale)

Par ailleurs ROland c 'est pas mal plongé dans tout ce qui est autres educations, freinet, montessori, steiner, et parfois on s'interroge pour ce qu'on fera juste à la maternelle, mais ensuite je pense que ça sera vraiment l'ecole publique.
Y a juste la maternelle ou on serait ptet tentés par quelques chose d'un peu différent.
Mais c'est encore quelque chose qui reste très théorique on en reparlera je pense d'ici peu...

pour Odin, tout dépend ou nous "serons". Si à ce moment là nous sommes encore dans le village ou nous allons habiter en mars, alors il sera dans une petite ecole de village (470 habitants grosso modo!) . Si on doit se rapprocher d'une grosse ville pour mon mari et son boulot: ce sera ecole montessori! Pourquoi? parce que l'education nationale actuelle et ses programmes scolaires et surtout sa "pédagogie " (en rêgle générale), ainsi que son besoin à tout prix de résultats, etc ne me conviennent absoluement pas...

ps: désolée pour les fautes nuit m*rdique en observation pédiatrique, je raconterai!

Personnellement, je suis allée dans deux écoles privées. J'ai fait deux années en primaire juste après le divorce de mes parents. L'école était dans ma rue et comme ma mère bossait beaucoup pour subvenir à nos besoins, ça la rassurait de me savoir pas loin et de savoir que je pouvais rentrer seule facilement après l'école. La deuxième école privée, comme le fils de Luna, c'est moi qui l'ai choisi au moment de faire mon BTS. Ce lycée privé était le seul établissement à proposer ce BTS dans tout le département...

Si nous n'avions pas déménagé, je pense que Lubin serait allé dans le privé, pas par conviction religieuse (comme Abi, pas de caté chez moi sauf si c'est LUI qui le demande) mais vraiment parce que cette école ne représente pas pour moi l'école républicaine. Comme on déménage, ce sera l'école publique.

école publique pour toutes les raisons énoncées plus haut par les autres ....même si là ça se barre un peu en sucette avec toutes les réformes à la c** qu'on est en train de nous pondre.

par principe ici c'est l'école publique, on n'y pense mm pas à la possibilité de mettre en école privé ( et en plus il y en a pas dans notre ville) , d'ailleurs il est inscrit dans une écolé à coté d'un quartier très populaire, on s'est mm pas rendu compte, ce sont les "amis" qui nous on fait remarqué .... .. à priori ça ne nous pose aucun problème, on verra au fil et à mesure... mais étant moi mm et zom issus de l'école républicaine laïque et pour TOUS (mise à part mon université privé ) ça m'étonnerai que fiston fasse un parcours différent ... à un moment on avait pensé à la calendretta occitana ( on sait pas si c'est associative ou privée) mais c'est à 30km d'ici et puis ça ferait tellement plaisir à papy que ça nous dégoûte presque :daible1:

chez Moi, je sais, ça n'a absolument rien à voir avec l'Europe, mais les parents font tellement des sacrifice pour mettre ses enfant dans le privé qu'un des argument que je donne à zom quand il parle d'un jour aller habiter au Brésil c'est cela: tu habites un pays où quoi qu'on dise l'éducation nationale est là et elle a ses qualités... tu ne trouveras pas ça au Brésil et je ne suis par sure que le privé elitiste brésilien donnerait à nos enfants les bases que nous souhaitons qu'il ait! et ça marche!

Lorène a écrit:

Juste pour dire que les petits effectifs ne sont pas systématiques ds le privé : par chez moi il y a un gros groupe scolaire privé, et en mater, les gamins était une trentaine...

Et pour rebondir sur ce que dit Abi, le fils de ma meilleure amie qui s'est trouvé en grande difficulté en CP ds la primaire publique tout ce qu'il y a de bien de chez elle, vient d'être changé pour le privé, parce qu'effectivement, il semblerait qu'il soit un peu différent (précocité ?), et que cette école privée d'adapte aux enfants.

Dc je me demande si parfois, le moule de l'EN n'est pas trop rigide pour ceux qui ne sont pas ds la norme (bon, en même temps je pars d'un cas particulier pour en faire une généralité, c'est pas terrible, je sais )

Edith ajoute aussi que le privé c'est qu'en cas de grosses difficultés de l'enfant ou de l'établissement, et en aucun cas pour faire de la reproduction sociale. Edith travaille ds un des quartiers les plus chers de tout Paris, et il y a une OGEC (=enseignement religieux) de folie... ça Edith ne comprend pas !

ben perso, je suis pour l'école laïque et tout et tout
mais si les difficultés scolaires se poursuivent pour Jonas, ça me fendra mais je n'hésiterai pas à tenter le privé

parce que je veux le mieux pour lui, et s'il n'est pas prêt à s'adapter au public ... je vais pas le laisser dans une spirale d'échec

caroline a écrit:

Lorène a écrit:

Juste pour dire que les petits effectifs ne sont pas systématiques ds le privé : par chez moi il y a un gros groupe scolaire privé, et en mater, les gamins était une trentaine...

Et pour rebondir sur ce que dit Abi, le fils de ma meilleure amie qui s'est trouvé en grande difficulté en CP ds la primaire publique tout ce qu'il y a de bien de chez elle, vient d'être changé pour le privé, parce qu'effectivement, il semblerait qu'il soit un peu différent (précocité ?), et que cette école privée d'adapte aux enfants.

Dc je me demande si parfois, le moule de l'EN n'est pas trop rigide pour ceux qui ne sont pas ds la norme (bon, en même temps je pars d'un cas particulier pour en faire une généralité, c'est pas terrible, je sais )

Edith ajoute aussi que le privé c'est qu'en cas de grosses difficultés de l'enfant ou de l'établissement, et en aucun cas pour faire de la reproduction sociale. Edith travaille ds un des quartiers les plus chers de tout Paris, et il y a une OGEC (=enseignement religieux) de folie... ça Edith ne comprend pas !

ben perso, je suis pour l'école laïque et tout et tout
mais si les difficultés scolaires se poursuivent pour Jonas, ça me fendra mais je n'hésiterai pas à tenter le privé

parce que je veux le mieux pour lui, et s'il n'est pas prêt à s'adapter au public ... je vais pas le laisser dans une spirale d'échec

Oué. voilà, ça me parait logique. Que ce soit pour tenter le privé, les écoles à pédagogies différentes, mais tenter autre chose.

caroline a écrit:

parce que je veux le mieux pour lui, et s'il n'est pas prêt à s'adapter au public ... je vais pas le laisser dans une spirale d'échec

Bien sûr, je te suis à 200% là dedans, ça rejoint ce que je disais plus haut, mais en vrai on est d'accord, ce n'est pas s'il n'est pas prêt à s'adapter au public, c'est s'il n'est pas prêt à s'adapter à un type de pédagogie. Parce qu'il existe quelques écoles publiques appliquant des pédagogies alternatives (mais pas chez toi ni chez moi a priori)

Enseignement public. Je suppose que si je n'avais pas d'autre choix (mais quelle en serait la raison ?) je passerais sur une école privée. Mais à certaines conditions : je n'envisage pas plus d'école catholique que musulmane ou bouddhiste pour ne citer que ces trois orientations. En aucun cas je ne peux imaginer de mélanger apprentissage scolaire et religion.

L'école privée choisie devrait avoir fait la preuve de son niveau (résultats aux exams si elle va jusque sur ces classes là, en présentant TOUS les élèves, pas uniquement ceux dont elle pense qu'ils auront l'exam par exemple).

L'encadrement des écoles publiques ici est excellent, de la maternelle jusqu'au lycée. En cas d'absence de l'enfant, par exemple, y compris au collège, si on n'a pas prévenu, le coup de fil arrive à la maison au plus tard une heure après le début du premier cours manqué. Les profs sont compétents, formés pour et avec les diplômes et examens qui en font des profs reconnus. On n'a pas de sorties de luxe, mais des voyages scolaires avec participation des parents pour les séjours à l'étranger, des visites de musées, d'exposition, des intervenants extérieurs qui viennent aborder certains sujets hors stricts programmes scolaires, bref, une ouverture normale sur la vie. La population est mélangée et ressemble à la petite ville dans laquelle nous vivons. Quelques soucis de temps en temps, mais je ne suis pas certaine que l'école privée n'en connaisse pas. Bref, la vie normale, qui prépare nos enfants à un parcours normal.

Georges a été en partie scolarisé dans un pensionnat jésuite et a fait là ses plus belles conneries d'ado. De son propre aveu, il était plus encadré en public que là.

Hors de question de mettre Juliette dans l'enseignement libre (= privé chez vous si j'ai compris).

De par l'apprentissage de la religion, ce que je ne souhaite pas, du fait qu'elles font un peu ce qu'elles veulent et s'octroient certains droits parce que moins de contrôle de l'Etat, du prix des excursions, du pourcentage de "prout-prout" qu'on y rencontre.

ce sera surement du public sauf si il est très mauvais et là ptetre envisageront nous le privé

caroline a écrit:

ben perso, je suis pour l'école laïque et tout et tout
mais si les difficultés scolaires se poursuivent pour Jonas, ça me fendra mais je n'hésiterai pas à tenter le privé

parce que je veux le mieux pour lui, et s'il n'est pas prêt à s'adapter au public ... je vais pas le laisser dans une spirale d'échec

pas mieux
L'année prochaine je le change d'école pour le mettre dans un collège public encore, ça aurait pu être privé ou public ça n'aurait rien changé, la seule chose importante c'est que la violence là bas est casi inexistante, et la réussite au brevet et de 99,6 % ce qui me rassure sur le contenu des cours et leurs apprentissage ni plus ni moins